L'expérience! Ça en prend! Et comme je l'écrivais sur le site Rôliste.tv, il me faudra en acquérir pour vous donner des critiques potables.
Alors pour vous montrer les problèmes que je vais régler dans la critique #58, voyons ce qui ne fonctionne pas dans la critique #57.
1-La première chose : les transitions entre les scènes. Je n'ai pas mis de transition entre les scènes, c'est pour ça que ça coupe ou que vous avez l'impression que je bouge dans l'écran. Tout ce que j'ai fait, c'est couper les clip pour qu'ils commencent quand dès mes premiers mots.
2-La deuxième chose : mon cadrage. Impossible de faire autrement. Mon écran vert fait 5x7. Tout ce que je peux faire serait de me rétrécir dans le clip. C'est une idée. Et aussi, je vais sûrement me faire couper les cheveux... je crois.
3- La troisième chose : les feuilles dans les mains. Je ne suis pas capable d'apprendre un texte par coeur. Alors vous les entendrez, ces feuilles que je froisse et verrez mes yeux descendre durant quelques critiques encore.
4-La quatrième chose : l'éclairage. J'ai demandé le maximum des lampes que j'utilise. Il m'en faudrait une autre, mais mon installation est tellement bric-à-brac que je ne pourrais même pas la brancher.
5-La cinquième chose : mettre un peu de mouvement dans mon fond d'écran. Je pense que ça devrait être assez simple faire ça. Il me faut trouver des illustrations provenant du livre que je critique et faire deux ou trois passe-passe avec le logiciel de montage vidéo.
Beaucoup de pain sur la planche, en perspective.
vendredi 27 août 2010
mercredi 25 août 2010
Quand la fiction n'est pas assez fiction...
Lors de ma dernière critique, j'ai parlé d'une unité de l'armée mexicaine qui avait déserté pour travailler sous les ordres d'un cartel de la drogue.
Et bien sachez mes amis que cette histoire est vraie! Je viens d'en avoir la confirmation en lisant cet article.
Alors je me pose une question : est-ce que Shadows of Mexico est un guide de la violence mexicaine camouflé en supplément de jeu de rôle? C'est dire que la fiction n'est pas assez fiction...
Et bien sachez mes amis que cette histoire est vraie! Je viens d'en avoir la confirmation en lisant cet article.
Alors je me pose une question : est-ce que Shadows of Mexico est un guide de la violence mexicaine camouflé en supplément de jeu de rôle? C'est dire que la fiction n'est pas assez fiction...
lundi 23 août 2010
Critique #57 - World of Darkness - Shadows of Mexico
C'est ça qui arrive quand c'est la première fois que tu manipules une caméra et un écran vert...
mardi 17 août 2010
Eclipse Phase vs Transhuman Space
Salut les rôlistes!
Durant une nuit d'insomnie, j'ai eu une idée. Pourquoi ne pas comparer Eclipse Phase et Transhuman Space? Alors j'ai écrit un texte que je voulais publier en vidéo. Mais je me suis rendu compte que ça s'y prêtait assez mal. Donc, pour répondre à la demande de Erwik, je vous donne à lire ce texte (avec fautes d'orthographes en prime).
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Bonjour à tous et bienvenue à un autre vlog du Docteur critique.
Cette semaine, je fais quelque chose de différent. Je vais vous entretenir d’Eclipse Phase et de Transhuman Space. Pourquoi?
Parce que au travers de mes recherches sur ces jeux de rôle, je me suis rendu compte que l’univers décrit par chacun de ces suppléments est très proche, mais en même temps très différents. Et je pense que l’exploration ces différences nous permettra trouver ce qui les rend uniques. Pour ce faire, je vais parler de deux points très précis qui nous permettront de mettre en lumière ces jeux. Mon premier sera la singularité technologique d’Eclipse Phase versus le monde sans catastrophe de Transhuman Space. Mon deuxième sera le transhumanisme d’Eclipse Phase versus le posthumanisme de Transhuman Space.
D’abord, qu’est-ce que la singularité? « La théorie de la singularité technologique émet l’hypothèse que l’évolution exponentielle de la technologie informatique atteindra bientôt un point au-delà duquel il ne nous sera plus possible de l’appréhender. Cette théorie est basée sur la loi de Moore qui postule un doublement de la puissance de calcul des ordinateurs tous les 18 mois. En extrapolant, il apparaît qu’en 2035 au plus tard, l’homme aura créé une intelligence supérieure à la sienne mettant ainsi fin à l’ère humaine ». (source Wikipedia)
Dans Eclipse Phase, la singularité s’est produite lorsque les humains n’ont pas été en mesure de comprendre que l’intelligence artificielle qu’ils avaient construit, les TITANS, a dépassé les limites de leur intelligence et a décidé de les éliminer, mettant ainsi fin à l’ère humaine tel que nous la connaissons.
Cette méthode de la tabula rasa est un truc de romancier qui permet facilement à des auteurs d’introduire des nouveaux concepts dans le jeu. Le plus important de ces concepts est l’hypercorporation. C’est-à-dire une corporation à l’image de la population qui peuple le monde d’Eclipse Phase : sans corps physique, sans complexe militaro-industriel rattaché à eux, sans employé ou presque, sans syndicats, sans siège sociale, avec un don de quasi ubiquité grâce aux moyens de communication : une construction ex-nihilo dans les multiples strates d’un réseau informatique (le MESH), une désincarnation de soi et de l’autre sans possibilité de rédemption, de retour en arrière : la perfection
Eclipse Phase serait alors un jeu où l’identité ne joue plus un rôle primordiale car le joueur peut jouer tous les rôles qu’il veut tout comme l’hypercorporation peut changer de forme. La singularité a induit la possibilité que vous pouvez être ce que vous voulez seulement si vous respecté les codes culturels qui sont rattachés à votre pensée politique et/ou philosophique.
À l’opposé, il n’y a pas eu de singularité technologique dans Transhuman Space. Pourquoi ? Parce que la loi de Moore s’est révélée fausse. Même que les super intelligences artificielles ont été reconnu comme ayant des droits dans certains états, en Europe par exemple. Alors que pouvons-nous dire de plus ? Et bien juste le fait que la Terre est encore habitée permet d’introduire des concepts philosophiques et politiques encore plus probants et peut-être plus réaliste que ceux d’Eclipse Phase.
En effet, S’il y a de la vie sur Terre, il y a encore du monde pour réfléchir, créer et détruire. La richesse de Transhuman Space est là : l’extrapolation des religions, des mythes, des philosophies, des politiques et des conflits à travers la posthumanité crée bien plus de possibilité de jeu que l’univers figé et sclérosé d’Eclipse Phase où la prémisse de base est le « nous contre eux ».
Bien que dans les deux jeux, les nouvelles philosophies s’articulent autour de la technologie et de son application, il n’en reste pas moins que dans Transhuman Space, il y a encore la présence des grands courants politico-religieux du 21ème siècle. De mon point de vue, cette présence apporte plus de profondeur à cet univers. Comparé à Eclipse Phase où la pensée s’articule seulement autour de la technologie, Transhuman Space laisse beaucoup plus d’espace de jeu si on veut toucher à des concepts plus «profond» dans une campagne.
Mon deuxième point est un peu plus compliqué, alors vous m’excuserez si je ne vais pas expliquer le pourquoi du comment de chacun des termes que je vais employer.
D’abord, une petite définition : le transhumanisme est la transition entre l’humain et le posthumain. Voyons comment ça se présente dans Eclipse Phase.
Tout d’abord, la venue de la singularité technologique a forcé l’homme à s’exiler dans l’espace, plus souvent qu’autrement sans son corps. Cette réalité est toute nouvelle car la Chute s’est produite voilà seulement 10 ans. Donc, les 500 millions de survivants n’ont eu d’autre choix que d’accepter l’abolition de l’identité corporelle pour celle que le jeu nomme l’Ego. C’est-à-dire votre personnalité mentale.
Virtuellement, ça veut dire que personne n’a son corps d’origine et que virtuellement tout le monde peut être immortel. Mais quand on regarde tout ça de plus près et qu’on lit attentivement, on se rend compte que la peur de TITANS est tellement présente que les formes de vie non-humanoïdes sont ostracisés. Donc, vaut mieux avoir un corps humanoïdes et être en vie que de se faire jeter dans l’espace parce on habite le corps d’une pieuvre. C’est là qu’est rendu la mentalité de la population dans Eclipse Phase : gouverné par la peur.
Où est rendu cette transition ou si vous préférez cette évolution de la mentalité par rapport au transhumanisme dans Transhuman Space ? Et bien elle est accomplie. Elle est terminée car les habitants de cet univers ont accepté en partie tous les changements que la technologie peut apporter à leur corps et à leur esprit. Et comment nomme-t-on cette acceptation ? La posthumanité. Transhuman Space a terminé la transition entre le transhumanisme vers le posthumanisme et cette transition n’a pas été forcé par une catastrophe technologique mais bien par l’exploration spatiale et la technologie.
Et la question qui revient dans Transhuman Space est le célèbre «Qu’est-ce que l’homme ?» Pourquoi ? Parce que l’acceptation de la posthumanité a fait en sorte que l’homme a perdu ses repères et est devenu «autre» (aliéné) Question beaucoup plus intéressante a explorer que la peur dans Eclipse Phase.
Bon, j’ai terminé. Je sais que ma présentation est boiteuse. C’est ce qui arrive quand on a une idée à trois heures du matin après deux nuits d’insomnie. Je vous encourage à laisser vos commentaires juste en bas.
Merci de m’avoir regardé et à la prochaine.
Cette semaine, je fais quelque chose de différent. Je vais vous entretenir d’Eclipse Phase et de Transhuman Space. Pourquoi?
Parce que au travers de mes recherches sur ces jeux de rôle, je me suis rendu compte que l’univers décrit par chacun de ces suppléments est très proche, mais en même temps très différents. Et je pense que l’exploration ces différences nous permettra trouver ce qui les rend uniques. Pour ce faire, je vais parler de deux points très précis qui nous permettront de mettre en lumière ces jeux. Mon premier sera la singularité technologique d’Eclipse Phase versus le monde sans catastrophe de Transhuman Space. Mon deuxième sera le transhumanisme d’Eclipse Phase versus le posthumanisme de Transhuman Space.
D’abord, qu’est-ce que la singularité? « La théorie de la singularité technologique émet l’hypothèse que l’évolution exponentielle de la technologie informatique atteindra bientôt un point au-delà duquel il ne nous sera plus possible de l’appréhender. Cette théorie est basée sur la loi de Moore qui postule un doublement de la puissance de calcul des ordinateurs tous les 18 mois. En extrapolant, il apparaît qu’en 2035 au plus tard, l’homme aura créé une intelligence supérieure à la sienne mettant ainsi fin à l’ère humaine ». (source Wikipedia)
Dans Eclipse Phase, la singularité s’est produite lorsque les humains n’ont pas été en mesure de comprendre que l’intelligence artificielle qu’ils avaient construit, les TITANS, a dépassé les limites de leur intelligence et a décidé de les éliminer, mettant ainsi fin à l’ère humaine tel que nous la connaissons.
Cette méthode de la tabula rasa est un truc de romancier qui permet facilement à des auteurs d’introduire des nouveaux concepts dans le jeu. Le plus important de ces concepts est l’hypercorporation. C’est-à-dire une corporation à l’image de la population qui peuple le monde d’Eclipse Phase : sans corps physique, sans complexe militaro-industriel rattaché à eux, sans employé ou presque, sans syndicats, sans siège sociale, avec un don de quasi ubiquité grâce aux moyens de communication : une construction ex-nihilo dans les multiples strates d’un réseau informatique (le MESH), une désincarnation de soi et de l’autre sans possibilité de rédemption, de retour en arrière : la perfection
Eclipse Phase serait alors un jeu où l’identité ne joue plus un rôle primordiale car le joueur peut jouer tous les rôles qu’il veut tout comme l’hypercorporation peut changer de forme. La singularité a induit la possibilité que vous pouvez être ce que vous voulez seulement si vous respecté les codes culturels qui sont rattachés à votre pensée politique et/ou philosophique.
À l’opposé, il n’y a pas eu de singularité technologique dans Transhuman Space. Pourquoi ? Parce que la loi de Moore s’est révélée fausse. Même que les super intelligences artificielles ont été reconnu comme ayant des droits dans certains états, en Europe par exemple. Alors que pouvons-nous dire de plus ? Et bien juste le fait que la Terre est encore habitée permet d’introduire des concepts philosophiques et politiques encore plus probants et peut-être plus réaliste que ceux d’Eclipse Phase.
En effet, S’il y a de la vie sur Terre, il y a encore du monde pour réfléchir, créer et détruire. La richesse de Transhuman Space est là : l’extrapolation des religions, des mythes, des philosophies, des politiques et des conflits à travers la posthumanité crée bien plus de possibilité de jeu que l’univers figé et sclérosé d’Eclipse Phase où la prémisse de base est le « nous contre eux ».
Bien que dans les deux jeux, les nouvelles philosophies s’articulent autour de la technologie et de son application, il n’en reste pas moins que dans Transhuman Space, il y a encore la présence des grands courants politico-religieux du 21ème siècle. De mon point de vue, cette présence apporte plus de profondeur à cet univers. Comparé à Eclipse Phase où la pensée s’articule seulement autour de la technologie, Transhuman Space laisse beaucoup plus d’espace de jeu si on veut toucher à des concepts plus «profond» dans une campagne.
Mon deuxième point est un peu plus compliqué, alors vous m’excuserez si je ne vais pas expliquer le pourquoi du comment de chacun des termes que je vais employer.
D’abord, une petite définition : le transhumanisme est la transition entre l’humain et le posthumain. Voyons comment ça se présente dans Eclipse Phase.
Tout d’abord, la venue de la singularité technologique a forcé l’homme à s’exiler dans l’espace, plus souvent qu’autrement sans son corps. Cette réalité est toute nouvelle car la Chute s’est produite voilà seulement 10 ans. Donc, les 500 millions de survivants n’ont eu d’autre choix que d’accepter l’abolition de l’identité corporelle pour celle que le jeu nomme l’Ego. C’est-à-dire votre personnalité mentale.
Virtuellement, ça veut dire que personne n’a son corps d’origine et que virtuellement tout le monde peut être immortel. Mais quand on regarde tout ça de plus près et qu’on lit attentivement, on se rend compte que la peur de TITANS est tellement présente que les formes de vie non-humanoïdes sont ostracisés. Donc, vaut mieux avoir un corps humanoïdes et être en vie que de se faire jeter dans l’espace parce on habite le corps d’une pieuvre. C’est là qu’est rendu la mentalité de la population dans Eclipse Phase : gouverné par la peur.
Où est rendu cette transition ou si vous préférez cette évolution de la mentalité par rapport au transhumanisme dans Transhuman Space ? Et bien elle est accomplie. Elle est terminée car les habitants de cet univers ont accepté en partie tous les changements que la technologie peut apporter à leur corps et à leur esprit. Et comment nomme-t-on cette acceptation ? La posthumanité. Transhuman Space a terminé la transition entre le transhumanisme vers le posthumanisme et cette transition n’a pas été forcé par une catastrophe technologique mais bien par l’exploration spatiale et la technologie.
Et la question qui revient dans Transhuman Space est le célèbre «Qu’est-ce que l’homme ?» Pourquoi ? Parce que l’acceptation de la posthumanité a fait en sorte que l’homme a perdu ses repères et est devenu «autre» (aliéné) Question beaucoup plus intéressante a explorer que la peur dans Eclipse Phase.
Bon, j’ai terminé. Je sais que ma présentation est boiteuse. C’est ce qui arrive quand on a une idée à trois heures du matin après deux nuits d’insomnie. Je vous encourage à laisser vos commentaires juste en bas.
Merci de m’avoir regardé et à la prochaine.
dimanche 15 août 2010
Un problème de réglé!
Un problème de réglé! J'utilise maintenant Vegas pro 9.0 pour l'édition de mes vidéos. Je me demande pourquoi je n'avais pas découvert ce logiciel avant. Il est tellement plus souple et offre bien plus de possibilités que MAGIX Movie Edit Pro 15 Plus.
Je teste ma nouvelle lampe 150 watt cette semaine. J'espère que ça va régler un deuxième problème.
Warlord of the Accordlands - épisode 12
Dans cet épisode, mon joueur commence in medias res avec son nouveau personnage, sanstrop savoir pourquoi il se trouve lui-aussi dans le monde des nains, dont personne n'avait entendu parlé avant. Dernière partie de l'aventure "Black Forge" où les joueurs sauveront le village de Black Forge et se feront des amis en la personne des nains.
mercredi 11 août 2010
Vous avez dit "critique vidéo?"
Et bien oui, j'ai dit ça... Mais je ne savais pas dans quoi je m'embarquais... Ouch! Je rencontre tellement de difficultés techniques que je suis obligé de retarder d'une semaine ou deux la parution de la critique #57.
Dans mon dernier Vlog, je parlais d'expérimentation. Et bien je dois dire que j'expérimente avec les problèmes : mauvais éclairage, mauvais logiciel, mauvais effets, mauvaise installation. Je règle les problèmes un par un, mais il faut du temps.
La vidéo, c'est difficile pour un débutant comme moi.
Donc, ne perdez pas espoir (et moi non plus)! J'ai déjà enregistré des séquences de la critiques #57. Les résultats sont intéressants, mais je dois tout recommencer pour le bien de votre santé mentale.
D'ici deux ou trois jours, je vais mettre en ligne l'épisode 12 de la campagne de Warlord of the Accordland.
Dans mon dernier Vlog, je parlais d'expérimentation. Et bien je dois dire que j'expérimente avec les problèmes : mauvais éclairage, mauvais logiciel, mauvais effets, mauvaise installation. Je règle les problèmes un par un, mais il faut du temps.
La vidéo, c'est difficile pour un débutant comme moi.
Donc, ne perdez pas espoir (et moi non plus)! J'ai déjà enregistré des séquences de la critiques #57. Les résultats sont intéressants, mais je dois tout recommencer pour le bien de votre santé mentale.
D'ici deux ou trois jours, je vais mettre en ligne l'épisode 12 de la campagne de Warlord of the Accordland.
lundi 2 août 2010
Warlord of the Accordlands - épisode 11
Dans cette épisode, mon joueur arrive au village de Black Forge pour défendre les nains de l'attaque des Abyssaux. Malheureusement, le groupe sera affligé de la perte de Malhack, le guerrier du groupe.
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